Ce Mamiya C220 m’a été vendu en 1996 par un client de Ciné Photo Clubs, le magasin où j’ai effectué mon CAP Photographe. Grâce à mon collègue et ami Dominique, un client a accepté de me le céder pour un très bon prix, en état quasi-neuf.
Il s’agit d’un appareil photo que je ne sors que trop rarement. Pourquoi ? Parce qu’il est lourd et encombrant. L’autre raison, c’est que l’argentique, n’en déplaise aux puristes, reste plus contraignant que le numérique. Il faut acheter des films plutôt onéreux, les (faire) développer puis les scanner.
Certes, ces films au format 6×6 produisent un rendu magnifique (en particulier au niveau du grain), mais il faut beaucoup de travail et de motivation. Même s’il n’a aucune valeur marchande aujourd’hui, il n’en demeure pas moins que ce Mamiya C220 est un formidable appareil de studio, en plus d’être un bel objet.